mardi, mars 13, 2018

JAQUET-DROZ, LES BEAUX ARTS DE L’HORLOGERIE

L’univers m’embarrasse et je ne puis songer / Que cette horloge existe et n’ait point d’horloger, écrivait Voltaire en 1772. On peut se prendre à rêver que cette analogie entre la mécanique du monde et celle d’une horloge lui ait été inspirée par l’un de ces merveilleux automates inventés par Pierre Jaquet-Droz ?

Né en 1721, l’homme est un horloger et un mécanicien précis et méticuleux, qui va rapidement se distinguer avec des automates et des pendules qui vont rapidement faire le tour du monde. Les montres, pendules et automates qui sortent de l’atelier créé à la Chaux de Fonds en 1738, connaissent un immense succès, de la cour d’Espagne à la Chine. Le succès est tel que la maison ouvre un bureau à Londres en 1774, puis un troisième site à Genève en 1784. Les oiseaux chanteurs de Pierre Jaquet-Droz sont des chefs d’œuvres très recherchés des collectionneurs chinois, sensibles à la poésie de ces pices compliquées aux décors d’un luxe extraordinaire. Du grand art.

Las, en 1791, l’histoire s’arrête brutalement. Pierre Jaquet-Droz, le visionnaire, s’est éteint un an plus tôt. Son fils Henry-Louis, et son fils adoptif Jean-Frédéric Leschot doit se résoudre à rendre les armes devant la faillite. La maison plonge dans l’oubli, jusqu’à son rachat en 2000 par le Swatch Group.

Jaquet-Droz occupe une place à part avec des pièces qui parlent à l’imagination. Si l’on peut être touché par le charme épuré de la Grande Seconde, inspiré d’une montre de poche de 1784, les ateliers d’arts, intégrés en 2011, redonnent tout son lustre au patrimoine décoratif de la maison.

Les métiers d’art sont la fierté de Jaquet-Droz et l’un des fondements de son succès d’antan. Peinture miniature sur émail, insertion de paillons d’or, gravure ou sculpture, ces métiers d’art contribuent à donner une âme à ces mécaniques de précision, dont certaines, comme la « Charming Bird », concentrent 8 animations sur le thème des oiseaux chanteurs, si chers à Pierre Jaquet-Droz.

La peinture miniature sur émail est une spécialité des ateliers. Une activité de grande précision, pour des séries limitées à 8, 28 ou 88 pièces, dont chacune nécessitera près d’une semaine de travail. Pour une pièce unique, réalisée d’après une photo ou un dessin original, il faudra jusqu’à deux mois.

Le dessin agrandi, réalisé à la gouache, servira de modèle à la peintre, qui va transposer le motif sur un cadran de 43 mm. La main, guidée par l’œil concentré sur le microscope, va reproduire patiemment chaque carpe, chaque algue, de ce motif qui a fait l’objet de deux séries de 28 pièces, dont elle connaît chaque trait par cœur.

Entre chaque couche de peinture, le cadran est passé au four, pour fixer et protéger le motif. Un travail de patience et de précision, qui nécessite une concentration extrême et des pinceaux dont certains sont aussi fin qu’un cheveu. Le résultat est saisissant de vie et de délicatesse. Il suffit de s’essayer à l’exercice pour en mesurer la difficulté. Les résultats de nos expériences pourront être qualifiés d’intéressants, certains s’avéreront plus doués, mais la virtuosité du trait, la subtilité des couleurs, la restitution d’un volume requièrent toute l’élégance et la subtilité du geste d’un artisan d’art. Le savoir-faire est un patrimoine que les horlogers ont à l’évidence à coeur de préserver.

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ICE-WATCH : L'HEURE EST AU CUIR

Avec sa nouvelle collection Ice City, la marque d'horlogerie belge confirme sa volonté de poursuivre sur le chemin de l'élégance simple et urbaine.

Il semblerait que le silicone signature d'Ice-Watch s'efface lentement mais sûrement au fil des années. En juillet dernier, la marque confirmait déjà son envie de passer à la vitesse supérieure en s'associant au constructeur BMW dans le cadre d'une collection très sport. Avec Ice City, c'est le retour au rythme de la ville, aux codes urbains, au lifestyle décontracté mais résolument chic. La sobriété minimaliste du design confère aux montres un style caméléon. Pour cause, chaque pièce est livrée avec deux bracelets (un cuir, un en nylon) et disponible en deux tailles. A noter le choix vaste et plaisant au niveau des coloris.

Zenith dote son modèle extra-plat d’une nouvelle version du mouvement maison Elite. La manufacture modernise et améliore les performances de ce calibre lancé en 1994, reconnu à l’époque « meilleur mouvement de l’année » et réputé depuis pour sa fiabilité.

On aime toujours autant ce modèle trois aiguilles avec son élégant cadran bombé, tant pour son classicisme parfait que ses courbes tout en douceur et ses proportions élégantes. Animée par le calibre Elite, réputé pour sa fiabilité, cette montre mérite largement de sortir de l’ombre dans laquelle sa brillante ainée la tient parfois. Elite n’a pas à rougir devant El Primero : on peut être d’une même (bonne) famille, sans partager le même tempérament.

Dans sa version 2015, le calibre Elite offre une réserve de marche étendue à 100 heures, un diamètre de 30 mm mieux adapté à l’évolution de la taille des boitiers et qui ouvre la possibilité de nouvelles fonctions. A noter, il dispose désormais d’une seconde centrale directe. Naturellement, ce nouveau mouvement demeure remarquablement plat (3,92 mm).

On connaissait le fantôme de l’Opéra, il faudra compter désormais avec celui du Carrousel. A l’occasion du Salon Belles Montres et du Salon de l’Homme, l’horloger français Pequignet présente une version entièrement noire de sa Royale Titane. Une édition limitée de 15 pièces, en vente chez colette.

Dans la lignée des garde-temps de la maison de Montbéliard, cette Royale Titane Fantôme dispose de ce fameux Calibre Royal dont nous avons eu souvent l’occasion de vous parler. Née en 1974, la marque à la fleur de lys a connu une longue éclipse, avant son rachat et la mise au point d’un calibre mécanique entièrement développé et assemblé en France, le Calibre Royal Salué par les amateurs, ce mouvement présente la particularité d’intégrer toutes les complications sur la platine. Il représente ce « renouveau de l’horlogerie française », qui a donné naissance à une belle collection de montres mécaniques.

Cette Royale Titane Fantôme est entièrement noire, avec un boitier de 44 mm en titane traité DLC, un cadran et un bracelet en tissu technique doublé de caoutchouc dans la même teinte. Elle offre les fonctions date, petite seconde et l’affichage de la réserve de marche, qui s’élève à 88 heures.

Editée en 15 exemplaires seulement, la Royale Titane Fantôme est vendue chez colette au prix de 9 500 euros.

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GEOPHYSIC UNIVERSAL TIME : RÊVES DE VOYAGE

Ce n’est pas Noël tous les jours… Le prétexte n’est il pas bien choisi pour s’offrir l’heure du monde, avec l’un des deux modèles de la nouvelle collection Geophysic, signée Jaeger-LeCoultre, dont le cadran est à lui seul une invitation au voyage ?

L’an prochain on risque d’entendre beaucoup parler d’une « vieille dame » toujours aussi verte, la Reverso, qui fêtera ses 85 ans : c’est donc cette année qu’il faut parler de cette Geophysic, une montre conçue pour arpenter le monde.

Remontons dans le temps. En 1958, l’horloger créé un chronomètre destiné aux scientifiques dans le cadre de l’Année Géophysique Internationale. Résistante aux champs magnétiques, elle est conçue pour le Pôle Nord. Ses deux héritières, dont cette Geophysic Universal Time, cultivent cette élégante simplicité et ce souci de performance technique du modèle de 1958. Disponible en acier ou en or rose, elle offre de belles proportions avec un diamètre de 41,6 mm, ce qui assure une lisibilité optimale des fuseaux horaires sans compromettre son élégance.

Dotée d’un nouveau mouvement mécanique à remontage automatique (le calibre Jaeger-LeCoultre 772), elle intègre un balancier (le Gyrolab) développé pour la Master Compressor Extreme Lab en 2007 dans une version laboratoire, qui vient équiper cette nouvelle ligne de précision. Fidèle à l’esprit de la Geophysic d’origine, c’est une pièce volontairement simple d’utilisation. Le nom sonne bien. Institutionnel, il se pose là. On pourrait le croire installé depuis des décennies, les deux pieds bien plantés dans les terres du Jura suisse. Et bien pas du tout : Sartory-Billard, c’est l’histoire de deux petits français qui rêvaient d’une montre, et qui l’ont faite.

Ils ont tout bon, un nom qui claque, une référence de modèle qui brouille les pistes : RPM01, ça sonne un peu comme… Et bien non : Sartory-Billard n’est pas une vieille marque suisse exhumée d’un carton par la tendance revival en vogue dans l’horlogerie. Et RPM01 est l’abréviation du nom complet de leur tout premier modèle « Sartory Billard Paraboloïde Apex RPM modèle 01 ».

Aride au premier abord, il s’apprivoise quand on le décode : « Paraboloïde Apex » fait référence à la forme du boitier en berceau, relevé à 3h et 9h… qui rappelle le tracé d’un anneau de vitesse et ses points de corde, le circuit de Linas-Monthléry par exemple. Quand à RPM, il s’agit tout simplement de l’abréviation de « revolutions per minute », un compte-tours, donc. « J’ai quelques montres au design inspiré de la course automobile qui ne me satisfaisaient pas complètement, explique Ludovic Sartory, co-fondateur de Sartory-Billard. Elles manquaient d’une filiation directe avec les instruments de mesure automobiles. J’étais un peu frustré dans mes attentes d’amateur de montres ». C'est comme cela que l'histoire a commencé. C’est une passion commune pour l’automobile, la moto et l’univers de la course qui a rapproché Armand Billard et Ludovic Sartory. Le premier est designer, le second web analyst et responsable de projet web. Tous deux aiment les montres mais aucun des deux n’est horloger. Qu’à cela ne tienne : ils vont se former. « Nous nous sommes lancés il y a deux ans, raconte Ludovic Sartory. Nous voulions créer une belle montre qui nous plaise et que l’on ne trouvait pas sur le marché ». Le duo passe une année entière à définir la courbe juste : le compteur de moto vintage en forme d’obus qu’ils avaient en tête s’avère trop massif sur le poignet. Dix prototypes imprimés en 3D et 7 autres en acier plus tard, ils trouvent enfin la courbe idéale, aussi juste de face que de profil. « Le profil est trop souvent sans âme, déplore Ludovic Sartory, il se limite à un fût et de grandes cornes. » Avec des courbes généreuses et des cornes presque invisibles, la RPM01 est de ce point de vue une réussite. Ludovic Sartory et Armand Billard le revendiquent : si les méthodes de conception sont ultra-modernes, la fabrication est résolument artisanale. Si le mouvement est suisse (la RPM01 embarque un mouvement ETA 2824-2), tout le reste ou presque est français. C’est un artisan franc-comtois spécialisé dans la micro-mécanique horlogère qui se charge de l’usinage particulier du boitier en acier et l’ensemble est assemblé à Paris, par l’Atelier Parisien d’Horlogerie. Cerise sur la gâteau, le bracelet intègre deux puces électroniques NFC, qui permettent de piloter toutes sortes de fonctions et d’appareils via son smartphone. La touche personnelle de Ludovic et la contribution de Sartory-Billard au grand concert des montres connectées. « C’est notre gadget de geek à nous ».

Si tout part du design, la RPM01 est une « vraie » montre, animée par un mouvement automatique ETA 2824-2, un classique robuste, dans son niveau de finition le plus soigné. Un « moteur » soigneusement mis en scène par Sartory-Billard, puisque les fixations traditionnelles du mouvement ont été remplacées par un support anodisé rouge, qui laisse apparaître le calibre dans son entier. « La façon dont on fixe le mouvement est importante, exactement comme pour le moteur d’une Ferrari ». Le montage est plus délicat, mais pour Ludovic Sartory, cela en valait la peine. « La filiation avec l’automobile est très poussée, il y beaucoup de détails qu’un passionné d’automobile va retrouver. Les pilotes reconnaissent la police de caractères de la Mustang. J’y ai mis mon cœur et les gens la trouvent belle ».

Avis aux amateurs, cette belle pièce est produite à 88 exemplaires, et il est encore possible de la commander pour 2 900 euros. Devant l’accueil réservé à leur premier bébé par le public et les professionnels, nos deux compères ne devraient pas s’arrêter en si bon chemin. Revenons à notre point de départ : « Paraboloïde » pour la forme du boitier, « Apex » pour l’inspiration auto et « RPM » pour désigner le modèle compte-tours, voilà qui s’appelle de la logique de gamme. « Nous comptons capitaliser sur la forme très reconnaissable de notre boitier avec des variations autour de cette forme » admet Ludovic Sartory. Avis aux amateurs.

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RICHARD MILLE : RM 67-01 AUTOMATIQUE EXTRA-PLATE

Déclinaison de la désormais classique RM 010, cette RM 67-01 joue dans la cour des montres extra-plates. Une « mise au régime » qui a nécessité la mise au point d’un nouveau mouvement automatique. La difficulté ? Conserver à ce mouvement squelette tout l’effet de profondeur du modèle d’origine, le tout dans un boitier de forme tonneau.

La boite est résolument plus plate (7,75 mm contre 13,84 pour la RM 010), et le mouvement l’est aussi. Mis au point pour l’occasion, le calibre de la RM 67-01 (nom de code CRM06) offre les fonctions heure, minute, seconde et date (astucieusement logée dans un guichet à 5h) pour une réserve de marche de 50h.

Une somme de détails participent à l’esthétique de l’ensemble, comme la disposition des index, posés sur le mouvement suivant les contours d’un rail aux lignes franches et aux arrondis subtils.

Une pièce élégante avec ses finitions brossées et polies, qui garde la très forte personnalité à la fois technique et sportive de la marque… en version extra-plate.

La haute horlogerie s’installe sur les Champs-Elysées avec l’ouverture d’un « mégastore » de près de 500 m2 dédié à l’horlogerie et la joaillerie.

Le quartier Vendôme-Capucines ne détient plus l’exclusivité en matière d’horlogerie. Les parisiens et les touristes du monde entier pourront découvrir les plus belles marques horlogères, soigneusement mises en valeur dans ce nouvel écrin de près de 500 m2 répartis sur trois étages. Le décor est feutré et confortable et l’on flâne tranquillement entre les merveilles signées Rolex, Cartier, Richard Mille, Panerai, A. Lange & Söhne, Piaget, Roger Dubuis, Montblanc, Tudor et bien d’autres encore. On pourra également y faire entretenir ou réparer ses montres, puisque le magasin intègre des ateliers horlogers.

Cette nouvelle adresse de la maison Dubail confirme encore la place à part que tient la capitale française dans l’univers du luxe et de l’horlogerie.

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C’est dans l’écrin de sa boutique entièrement rénovée de la place Vendôme que la maison Breguet a aménagé l’un de ses deux musées, le plus important. Une belle occasion de revenir aux fondamentaux de l’horlogerie moderne, que Breguet réinterprète magistralement avec sa ligne Tradition.

L’histoire pourrait commencer comme un conte pour enfant… Il était une fois en 1775 à Paris, Quai de l’Horloge, un horloger suisse de génie qui allait révolutionner l’art de l’horlogerie…

On ne peut évoquer Abraham-Louis Breguet sans évoquer le Tourbillon, cette complication qui charme toujours les amateurs d’horlogerie. Mais cet inventeur prolifique est à l’origine de bien des innovations pratiques ; on lui doit - entre autres - la montre à remontage automatique dès 1780, le ressort-timbre pour les montres à répétition-minutes, ou encore ce système de pare-chute, qui protège le fragile mécanisme en cas de choc.

Ce ne sont là que quelques uns des nombreux exemples de la contribution de cet horloger de génie à ce qui allait devenir l’horlogerie moderne.

Réfugié en Suisse aux heures sombres de la Révolution Française, l’homme regagnera Paris bien vite. La France ne lui tiendra pas rancune d’avoir été en cour auprès de Louis XVI et de Marie-Antoinette, qui prisaient fort ses créations. Bientôt tout ce que l’Europe compte de têtes couronnées figurera dans les registres de la maison conservés à Paris. Bonaparte, Caroline Murat sœur cadette de Napoléon et Reine de Naples pour qui il inventera la première montre bracelet, la reine d’Angleterre, le roi de Hollande, l’Impératrice de Russie et bien d’autres.

Depuis 1794, tout est conservé ici à Paris, où la maison a décidé de faire honneur à son histoire le temps d’une exposition qui souligne l’étonnante modernité de l’esprit du XVIIIe siècle

Pratique et fonctionnelLes inventions d’Abraham Louis Breguet témoignent d’un esprit pratique et d’une recherche de la simplicité fonctionnelle et esthétique remarquable. C’est ce qu’a choisi de souligner Breguet à travers cette exposition “la tradition au coeur d’une icône”, ui permet de revenir aux fondamentaux de la marque.

Bien comprendre son ADN pour mieux aller de l’avant : c’est ce qu’a fait Breguet en lançant en 2005 en lançant la ligne Tradition. Cette ligne revendique un double héritage, de la toute fin du XVIIIe siècle.

Héritière des montres de souscription lancées en 1796, les montres de la ligne Tradition bénéficient d’une architecture particulière. Premier des modèles de la collection, la 7027 en est un bon exemple. Elle offre ses secrets au regard, puisque ses principaux composants sont montés sur le dessus de la platine, le tout dans un souci de lisibilité maximum. Une simplicité extrême venu tout droit des montres dites “de souscription”. Payées en partie à la commande, elles étaient fabriquées avec le moins de composants possible pour en baisser le prix et améliorer la fiabilité. Et en ouvrant la montre, l’heureux amateur pouvait observer - et comprendre - le fonctionnement du mouvement.

Des montres à tact, lancées trois ans plus tard, la Tradition tient la disposition de son petit cadran excentré. Conçue pour une lecture de l’heure au toucher - utile dans le noir ou pour vérifier l’heure discrètement - , les montres à tact disposaient d’un cadran périphérique de petite taille, utilisé pour la mise à l’heure.

Esthétiquement tous les codes sont là. Actualisés, ils offrent un meilleur contraste entre les pièces grâce à l’utilisation de finitions différentes. Mais le guillochage clou de paris du cadran, parfaitement exécuté à la main, les cannelures de la boite, les aiguilles à pomme évidée et les cornes soudées… tout y est.

“Back to basics”... On ne réinvente pas la roue chez Breguet. Si la marque rend hommage à son passé, c’est pour mieux aller de l’avant.

Avec pas moins de 116 brevets déposés depuis 2002 et pas trois nouveaux modèles dans cette collection, dont un Chronographe et une Répétition Minutes Tourbillon, l’esprit d’Abraham-Louis Breguet semble plus présent que jamais.

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AUDEMARS PIGUET : QUANTIÈME PERPÉTUEL ROYAL OAK YELLOW GOLD

La transgression est une affaire d’époque. Après avoir bouleversé le petit monde de l’horlogerie en présentant une montre la Royal Oak taillée dans l’acier au début des années 70 quand une montre de luxe se devait d’être en or, Audemars Piguet fait le pari… de l’or jaune, avec le Quantième Perpétuel Royal Oak Yellow Gold, présenté à l’occasion du SIHH 2016.

En cette année 1972, la transgression que se permet Audemars Piguet fait sensation. Le dessin de la Royal Oak est audacieux avec sa lunette octogonale vissée, son bracelet intégré et son fameux cadran Grande Tapisserie, mais le choix des matériaux l’est plus encore. L’or fait alors la loi sur le marché des montres de luxe : Audemars Piguet va s’affranchir de cette convention en travaillant l’acier comme un matériau noble. En un peu plus de quarante ans, la marque n’aura cessé d’explorer le vaste champ des possibles en adoptant tour à tour le carbone, le platine, la céramique, le bronze, le platine ou même l’alacrite 602, un alliage rare d’une dureté inédite. Après bien des détours, entre les matériaux nobles, moins nobles ou tout simplement insolites, Audemars Piguet se tourne vers le roi des métaux, dans sa version la plus symbolique, l’or jaune. Un petit clin d'oeil également aux origines du modèle lancé en 1984, puisque 229 des 279 montres d'origines avaient été dotés d'un boîtier or.

Une pièce qui fera briller les yeux donc, puisque c’est le Quantième Perpétuel qui endosse la livrée. Enchâssé dans sa lunette dorée, le cadran bleu au motif Grande Tapisserie met en valeur cette belle complication, le jour à 9h, le mois à midi et la date, à 3h, une phase de lune à 6h. Les semaines sont indiquées sur le réhaut.

Ce modèle est présenté dans le diamètre 41 mm adopté depuis le quarantième anniversaire du modèle en 2012, dont les quatre versions du Quantième Perpétuel lancés en septembre 2015 avaient déjà bénéficié. Il est animé par le nouveau calibre 5134.

La manufacture suisse revisite sa montre d’aviateur historique : lancée en 1940, cette montre d’observation de grande taille et d’une grande précision, est l’un des modèles les plus célèbres de la marque. A l’occasion de l’édition 2016 du Salon de la Haute Horlogerie, IWC présente deux interprétations de ce best-seller, fidèles à l’esprit du modèle d’origine, mais mieux adaptées à un usage contemporain.

Aucun risque de passer inaperçu avec la première de ces deux montres dont le diamètre impressionnant (55 mm), rappelle celui du modèle d’origine, la Montre d’Aviateur 52 T. S. C., dont la grande taille répond aux impératifs fonctionnels de cette montre de pilote dédiée à l’observation ainsi qu’à la nécessité de précision du mouvement. Chacun des détails de cette pièce obéit d’ailleurs à un cahier des charges qui ravira les collectionneurs. Si le boîtier des deux modèles est en titane pour alléger le poids de ces montres imposantes (150g contre 183g pour la 55 mm, 120g pour sa "petite" sœur), les codes restent. Un boîtier externe sablé pour éliminer les reflets risquant de trahir le pilote ou d’altérer sa vision, un boitier interne en fer doux pour préserver le mouvement des champs magnétiques, une large couronne facile à manipuler avec des gants, un cadran noir mat, épuré au maximum sur lequel un triangle remplace le 12, pour faciliter la lecture dans l’obscurité. Les chiffres arabes sont enduits de Super LumiNova (et non plus de radium radiocatif). Les chiffres, comme les aiguilles en pale d’hélice, ont conservé leur couleur beige.

Le modèle « collector », la Grande Montre d’Aviateur « Heritage 55 », n’est édité qu’à 100 exemplaires numérotés et fera le bonheur des collectionneurs. La version 48 mm, toujours imposante mais plus facile à porter au quotidien, est disponible en 1000 exemplaires. Le bracelet en veau, qui permettait à l’origine de porter la montre sur une combinaison, reste fidèle à l’esthétique de la montre originale.

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VACHERON CONSTANTIN OVERSEAS : UNE COLLECTION RÉNOVÉE PREND LA MER

Lancée en 1996, sur la base du modèle 222 de 1977, c’est l’interprétation de la montre de voyage sportive et décontactée à la mode Vacheron Constantin. A savoir, une ligne complète de cinq modèles pour douze références, comprenant deux mouvement ultra-plats, fonctionnelle avec du caractère, mais raffinée dans ses moindres détails. Superbe et pratique, puisqu’elle propose également un astucieux système qui permet de changer le bracelet soi-même.

Cette collection complète accueille trois nouveaux mouvements : un chronographe, un calibre heure, minute, seconde et date et un mécanisme de petite taille (fonctions heure, minute et seconde), destinée aux boîtiers de 37 mm. La gamme comprend également deux mouvement ultra plats, dont l’Overseas Ultra-plate Quantième Perpétuel, l’un des plus plats qui soient. Toutes les montres sont estampillées du prestigieux poinçon de Genève.

La décontraction n’exclut pas l’élégance : l’Overseas en est la preuve. Son dessin privilégie la fluidité et l’on retrouve de multiples références à la croix de Malte, emblème de la marque, dans la forme de la lunette et des maillons. Raffinée encore, la rose des vents magnifiquement décorée qui fait office de masse oscillante.

Les finitions soleillés et azurées du cadran ressortent particulièrement bien au travers d’une laque bleue translucide, qui est en soi une invitation à hisser les voiles. Disponible en acier ou en or rose, cette collection très complète propose un astucieux système qui permet de changer son bracelet en un clin d’œil et sans aucun outil.

En 2015, Baume & Mercier tentait une incursion hors de son territoire avec un chronographe d’esprit sportif, hommage à la fameuse Cobra de Caroll Shelby. L’essai semble avoir convaincu la marque, qui reconduit l’expérience avec deux modèles en édition limitée à 1963 exemplaires, en référence à l’année où le trio de pilotes auquel Caroll Shelby avait confié sa première Cobra a raflé la victoire aux 12 Heures de Sebring.

C’est la deuxième version de ce modèle, lancé en édition limitée en 2015. Cette fois encore, il n’y en n’aura pas pour tout le monde, puisque 1963 exemplaires – l’année au cours de laquelle la première Cobra s’est illustrée sur le circuit des 12 Heures de Sebring -, seront commercialisés.

Un collector et unmodèle sportif atypique dans la gamme Baume & Mercier, dont les collections visent traditionnellement à marquer les premiers temps forts d’une vie : première montre, diplôme ou fiançailles. La Capeland Shelby Cobra s’inscrit dans un tout autre registre en commémorant la victoire d’hommes déterminés, au volant de ce bolide qui a marqué l’histoire de la course automobile.

Sportive par nature, la montre reste de facture classique et ses références sont discrètes. Le cadran noir s’orne d’un cobra et de la double bande présente sur la carrosserie, mais ton sur ton. Les compteurs reprennent ceux du tableau de bord, rehaussés de vert et de jaune, discrètement là encore. Quand aux aiguilles, les amateurs reconnaîtront dans leur dessin la forme du volant. Au dos de la montre, le verre est gravé de la mention «Shelby® Cobra Edition» «One out of 1963» n°«15». Dernière réfrence à la course, l’échelle tachymétrique placée sur le réhaut.

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AUTOMAT, MONTRES RÉSERVÉES AUX CASSE-COU

Cette série de montres sportives brille par son aspect invincible. Pour cause, elle reprend les codes des modèles de l'armée britannique durant les années 60-70. Les soldats de cette époque arboraient alors des montres solides à l'épreuve des intempéries mais aussi du poids des équipements. Les bracelets étaient en Nato Zulu (nylon de haute résistance) et les boitiers en acier. Pour sa collection ORO-SERIES, Automat reprend la même formule, présentant des montres à la fois légères, étanches à 200 mètres et robustes grâce à la protection amovible, élastique et anti-chocs : le bump. Une gamme indestructible.

Derrière l’acronyme se cachent Maximilian Büsser et ses amis, équipe, partenaires et fournisseurs. Il n’a donc pas cherché bien loin pour nommer sa maison : MB & F s’imposait. Ce sont les hommes qui comptent, et c’est ainsi que naissent des produits étonnants, qui détonnent dans le monde de l’horlogerie.

Un robot, des montres qui rappellent furieusement le Faucon Millenium de Star Wars ou le vaisseau du capitaine Flam, les sources d’inspiration des ces grands gamins vont chercher loin dans l’univers des quadras. « Un adulte créatif est un enfant qui a survécu » : voilà le credo de la marque et il a le mérite d’être clair.

Depuis 2007 , la marque a multiplié les pièces les plus surprenantes, parfois dans le cadre de partenariat avec L’Epée 1839, avec qui MB&F avait produit un premier robot horloger et l’étonnante Arachnophobia, inspirée par l’œuvre de l’artiste Louise Bourgeois. Son petit frère, Sherman (il se déplace sur chenille, le nom du tank est un clin d’œil), est présenté cette année à Genève. On peut voir son système d’échappement sous son crâne transparent. De l’aveu même de ses concepteurs, ce robot ne sert pas à grand chose sinon à donner l’heure et … le sourire, ce qui est là une bien grande qualité en ces temps austères qui ont perdu le sens de l’émerveillement.

Transparence toujours, pour la déclinaison de la HM6, (pour Horological Machine) une déclinaison d’un modèle lancé voici un an, pourvu cette fois d’un boîtier en verre saphir.

Un véritable exploit si l’on considère la forme de cette montre, conçue selon du streamline design en vogue aux Etats-Unis dans les années 30. Il aura fallu que les technologies d’usinage du verre permette d’imaginer cette architecture qui met en vedette le mouvement de la pièce, dont la forme est issue de la compilation de deux Cyberlab, le vaisseau du Capitaine Flam (le dessin animé est sorti en 1978, la cible se reconnaitra), avec au centre un tourbillon volant protégé à la demande par un « bouclier cyberespace ». Pour usiner le boîtier en verre de ce rêve de grand gamin, il aura fallu tout de même 350 heures, soit deux mois de travail. Dix exemplaires en or rose et dix en platine sont disponibles pour 350 000 et 380 000 CHF (soit environ 319 675 et 347 000 euros). Les gosses ont grandi.

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Sébastien Genty, Directeur de la boutique Hublot Vendôme, nous rappelle que " Hublot était à l’époque une marque qui ne communiquait pas du tout, jusqu’à l’arrivée de monsieur Biver en tant que CEO de Hublot, en 2004. Monsieur Biver, c'est un peu le sauveur de l’horlogerie. Il est parti de l’idée qu’il fallait tout reprendre à zéro, faire un virage à 180 degrés ! " Le pari est audacieux. Outre un parti pris créatif fort, la marque parie donc sur la fusion des matériaux. "En 2005, qu'à lieu le lancement de la première Big Bang avec un concept totalement novateur à savoir l’association de plusieurs matériaux comme la fibre de carbone, l’acier, la céramique, le kevlar et le caoutchouc et une version en or évidement. C’est une conception vraiment unique. La Big Bang à une grande longévité parce que l’on peut s’amuser avec, parce que l’on peut associer la fibre de carbone avec de l’or." poursuit Sébastien Genty et il ajoute cette métaphore, représentative du concept de fusion : "Ce système de sandwich, c’est vraiment des couches qui s’ajo.

Or, titane, carbone.... Précieux ou pas, les mariages mixtes font le bonheur de Hublot, qui ira jusqu’à créer le Magic Gold, un alliage d’or 18 carats résistant aux rayures. Sébastien Genty nous donne quelques clés pour comprendre la conception de ce matériau unique : "C’est un or qui est composé de céramique et d’or. En fait vous avez 75% d’or pur et 25% d’alliage pour avoir la qualification 18 carats. Ceci étant l’or va vous paraitre un peu grisâtre. Là où c’est très complexe, c’est que cet or inrayable, il faut le retravailler, l’usiner pour pouvoir en faire une montre. On fait l’expansion de la céramique à très haute pression et à très haute température et on injecte l’or. Ensuite la céramique se resserre et donne un tube quasiment noir et c’est par polissage de cette céramique là que l’on fait ressortir l’or."

Modèle emblématique de la marque, la Big Bang a marqué le début de la Hubot mania. Aujourd’hui, les créateurs s’emparent cette pièce qui se prête à toutes les fantaisies artistiques. Customisée, réinterprétée, taggée, habillée de peau de bête, fait monter sa cote fashion avec Lapo Elkann, qui la rhabille de denim bleu. "Les artistes s’accordent tous à dire que la Big Bang est vraiment unique en son genre, elle fait écho chez eux. C’est une marque qui nous amène là où on ne l’attend pas, un artiste nous emmène lui aussi là où nous ne sommes pas censés aller."

En 10 ans, le magma créatif ne s’est pas refroidi. Avec la Big Bang, Hublot se paie le luxe de repousser les limites toujours plus loin car les codes sont bien établis comme nous le précise Sébastien Genty : "Les constantes vont être évidement les vis, qui sont une des signatures esthétiques de la maison. Ce sont des vis qui sont utiles, elles se vissent et se dévissent réellement. Autre constante, la partie en Kevlar que l’on retrouve sur tous les modèles Big Bang. Ensuite, les lunettes oreilles qui sont les petites excroissances que l’on retrouve à 3 heures et 9 heures et qui rappellent les hublots de marine. On retrouve aussi toujours le bracelet caoutchouc. Même sur nos bracelets en croco la doublure est en caoutchouc. On le considère comme un élément tout aussi précieux que la céramique par exemple. C’est vraiment l’ADN. Ce ne serait pas Hublot si il n’y avait pas de caoutchouc." Mais Hublot, comme le souligne Sébastien Genty, "C’est avant tout une question de passion, d’amour et d’amitiés."

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Posted by Franck Muller Montre at 3:14 PM
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MONTBLANC 4810 EXOTOURBILLON SLIM

Dans la collection 4810, relancée cette année, Montblanc confirme ses ambitions dans les haute horlogerie tout en continuant à mettre de belles pièces à complications à portée des budgets beaucoup plus modestes. L’ExoTourbillon Slim fait partie de ces pièces qui font honneur à l’héritage horloger de Minerva, que Montblanc fait fructifier avec une belle créativité.

La maison de Hambourg fête ses 110 ans cette année. Toute la collection horlogère se met en ordre de marche pour célébrer cet anniversaire. La ligne 4810, que Montblanc relance cette année, fait référence à la traversée de l’Atlantique entreprise par les fondateurs de la maison en 1906. Ils ambitionnaient de conquérir l’Amérique et le monde; ils ont réussi au delà de leurs espérances. Toute la collection est marquée par des codes immédiatement identifiables, parmi lesquels un guillochage rayonnant depuis l’emblème Montblanc situé au centre du cadran. Chiffres romains, aiguilles régate, guichets en forme de sélecteur de vitesse de paquebot complètent le tout.

Pièce phare de cette collection, l’ExoTourbillon Slim est une innovation brevetée par Montblanc. La position du balancier de ce tourbillon plat et très léger, à l’extérieur de la cage, permet d’arrêter le mouvement pour régler la montre. Le tourbillon, qui effectue une rotation en une minute, sert également de compteur de secondes. Pour dégager la vue sur ce nouveau calibre, c’est un micro-rotor qui anime le mouvement.

Big Bang : voilà bien un nom qui claque. De fait, lancée il y a dix ans par Hublot, cette montre atypique allait faire émerger la jeune marque avec un concept fort, celui de la fusion, et une esthétique sans équivalent.

Sébastien Genty, Directeur de la boutique Hublot Vendôme, nous rappelle que " Hublot était à l’époque une marque qui ne communiquait pas du tout, jusqu’à l’arrivée de monsieur Biver en tant que CEO de Hublot, en 2004. Monsieur Biver, c'est un peu le sauveur de l’horlogerie. Il est parti de l’idée qu’il fallait tout reprendre à zéro, faire un virage à 180 degrés ! " Le pari est audacieux. Outre un parti pris créatif fort, la marque parie donc sur la fusion des matériaux. "En 2005, qu'à lieu le lancement de la première Big Bang avec un concept totalement novateur à savoir l’association de plusieurs matériaux comme la fibre de carbone, l’acier, la céramique, le kevlar et le caoutchouc et une version en or évidement. C’est une conception vraiment unique. La Big Bang à une grande longévité parce que l’on peut s’amuser avec, parce que l’on peut associer la fibre de carbone avec de l’or." poursuit Sébastien Genty et il ajoute cette métaphore, représentative du concept de fusion : "Ce système de sandwich, c’est vraiment des couches qui s’ajoutent les unes aux autres pour créer un modèle unique."

Or, titane, carbone.... Précieux ou pas, les mariages mixtes font le bonheur de Hublot, qui ira jusqu’à créer le Magic Gold, un alliage d’or 18 carats résistant aux rayures. Sébastien Genty nous donne quelques clés pour comprendre la conception de ce matériau unique : "C’est un or qui est composé de céramique et d’or. En fait vous avez 75% d’or pur et 25% d’alliage pour avoir la qualification 18 carats. Ceci étant l’or va vous paraitre un peu grisâtre. Là où c’est très complexe, c’est que cet or inrayable, il faut le retravailler, l’usiner pour pouvoir en faire une montre. On fait l’expansion de la céramique à très haute pression et à très haute température et on injecte l’or. Ensuite la céramique se resserre et donne un tube quasiment noir et c’est par polissage de cette céramique là que l’on fait ressortir l’or."

Modèle emblématique de la marque, la Big Bang a marqué le début de la Hubot mania. Aujourd’hui, les créateurs s’emparent cette pièce qui se prête à toutes les fantaisies artistiques. Customisée, réinterprétée, taggée, habillée de peau de bête, fait monter sa cote fashion avec Lapo Elkann, qui la rhabille de denim bleu. "Les artistes s’accordent tous à dire que la Big Bang est vraiment unique en son genre, elle fait écho chez eux. C’est une marque qui nous amène là où on ne l’attend pas, un artiste nous emmène lui aussi là où nous ne sommes pas censés aller." En 10 ans, le magma créatif ne s’est pas refroidi. Avec la Big Bang, Hublot se paie le luxe de repousser les limites toujours plus loin car les codes sont bien établis comme nous le précise Sébastien Genty : "Les constantes vont être évidement les vis, qui sont une des signatures esthétiques de la maison. Ce sont des vis qui sont utiles, elles se vissent et se dévissent réellement. Autre constante, la partie en Kevlar que l’on retrouve sur tous les modèles Big Bang. Ensuite, les lunettes oreilles qui sont les petites excroissances que l’on retrouve à 3 heures et 9 heures et qui rappellent les hublots de marine. On retrouve aussi toujours le bracelet caoutchouc. Même sur nos bracelets en croco la doublure est en caoutchouc. On le considère comme un élément tout aussi précieux que la céramique par exemple. C’est vraiment l’ADN. Ce ne serait pas Hublot si il n’y avait pas de caoutchouc." Mais Hublot, comme le souligne Sébastien Genty, "C’est avant tout une question de passion, d’amour et d’amitiés."

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Posted by Franck Muller Montre at 3:14 PM
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